texte des 3e LONDRES accompagnés par M. Lasvergnas :
Nous sommes allés À Ablain-Saint-Nazaire .
L’anneau de la mémoire est un monument commémoratif du centenaire de la Grande Guerre (Architecte Philippe Prost), Le site
rassemble ainsi 42 000 soldats français morts pendant la Première Guerre mondiale sur le front de l’Artois et des Flandres. On
peut également y lire les noms de John Kipling, le fils du poète Rudyard Kipling, de Joseph Standing Buffalo, petit-fils du chef
indien Sitting Bull ou encore celui du plus jeune soldat allemand engagé dans le conflit, Paul Mauk qui avait 15 ans.On a vu nos
noms sur l’anneau de la mémoire.
Sur le site de Notre dame de Lorette :
Le nombre de tombes est impressionnant. Il y a 42 000 soldats qui reposent dans ce lieu pour l’éternité. Il y a également plusieurs ossuaires avec des milliers de corps de soldats inconnus.
Une des tombes du cimetière de Notre Dame de Lorette nous a marqués. Un soldat de la première guerre mondiale était enterré
avec son fils décédé lors de la seconde guerre mondiale.
Les tombes des soldats juifs étaient recouvertes de cailloux. Celles des soldats musulmans étaient tournées vers la Mecque.
Ensuite nous sommes allés voir le site du Mémorial National du Canada à Vimy.
Après notre pique-nique, nous avons visité le Musée Canadien.
L’accent des guides canadiens nous a semblé étrange. Le musée appartient au Canada. Les Canadiens ont combattu là-bas
pendant la première guerre mondiale pour nous défendre.
On a visité des tranchées de la guerre. On a pu marché dans les tranchées. On avait l’impression d’être dans la guerre. On a pu
mettre des images sur les choses apprises pendant les cours d’Histoire. (66 Canadiens sont morts en France durant ce conflit)
Le souterrain était intéressant. On a pu se mettre dans les conditions des soldats de la première Guerre Mondiale. On a vu des
graffitis sur les murs (des noms, des dessins, des traits (représentant le nombre de jours)). La guide nous a fait vivre quelques
secondes de la vie des soldats dans ce souterrain en nous mettant dans les conditions d’éclairage de l’époque. On a pris
conscience du nombre important de soldats morts et de leur condition de vie.
La sortie était bien, cela nous a permis de mettre des images sur ce que nous apprenons en classe, de nous aérer et de sortir de
l’établissement scolaire.
